Vous la connaissez…
*Zaza se bidonne d’avance*
Deux Japonais se retrouvent en septembre, de retour de leurs courtes vacances.
- Alors, ton séjour en Europe, c’était bien ? demande Yamamoto.
- Je ne sais pas, répond Sushi. Je n’ai pas encore développé les pellicules.
*Zizi baille*
Passons… et voyons les photos.
Ici, la chapelle privée de Zizi et Zaza. Marbre, dorure, cristal… Ou plutôt, le centre spirituel de l’Eglise Orthodoxe roumaine, l’église épiscopale de Saint-Nicotara. On raconte que la femme de l’architecte a été emmurée vivante dans une alcôve pour que l’Eglise tienne debout. Ca ne nous rappelle pas ça ? Les Emmurés
Ici, l’ex-capitale Culturelle Européenne en 2007, une jolie petite vieille ville de Transylvanie avec une jolie petite place (dans le dos de Zizi), Sibiu. C’est là que Zaza s’est déboitée le nombril en buvant un demi litre de limonade à même le cruchon.
Ici, l’intérieur du village fortifié de Biertan, plus précisément, les marches internes de l’église citadelle. Il s’agit du premier site protégé par l’UNESCO qu’ont foulé vos chères bourlingueuses. C’est-il pas de toute beauté ces escaliers.
Ici, une fresque qui se trouve dans la maison natale de Vlad l’Empaleur, Dracula pour les intimes. Le doux berceau de ce dingue sanguinaire abrite un restaurant où Zaza s’est léchée les cinq doigts et le pouce après le repas.
Ici, le mur extérieur de la maison de Dracula et dans le marbre, la preuve intangible que le petit Vlad a fait son premier popo et a reçu sa première taloche à cet endroit. Pour les Saint Thomas moyens d’Overblog, allez jeter un coup d’œil dans le site moyenâgeux de Sighisoara, Patrimoine Mondial quand même.
Ici, toujours à Sighisoara, une petite coquetterie murale. La tête est vraie, malheureusement, elle ne chante pas « Cumbaya my lord » quand on passe devant. Zaza a tellement été emballé par cette décoration qu’elle projette d’empailler tous les pigeons de Paris et de les incruster sur les façades de Notre-Dame ; ça leur fera les plumes à ces fienteurs d’acide.
Ici, un registre pour les nombreux livreurs de moutards à plumes qui passent par le pays ; nous parlons des cigognes. Années, dates d’arrivée, nombre de rejetons et dates de départ. Ces gracieux oiseaux plus noirs et jaunes que noirs et blancs, ont m’habitude de tenir conseil avant de mettre les voiles vers l’Afrique.
Ici, monsieur et madame cigogne en pleine négociation. Monsieur veut passer par le canal de Suez pour admirer les pyramides et arriver plus vite en Afrique, Madame veut faire un petit crocher par le détroit de Gibraltar pour dire bonjour à sa mère.
Une petite pause, ça vous dit ?
La Roumanie, vous la voyez comment au fait ?